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 ESPACE PRIVÉ

Les objectifs

ALIEM APOSTROPHE constitue une étape de transition entre le projet ALIEM (2014-2019) et le futur projet ALIEM VIGIL (2024-2026). Il vise à amplifier les résultats obtenus dans le cadre d’ALIEM en poursuivant les études et expérimentations sur le plan de la lutte contre les espèces exotiques envahissantes, en termes de méthodes alternatives, de contrôle ou d'éradication, de façon respectueuse de l’environnement. L’objectif global est d’enrayer la propagation rapide de certaines espèces qui menacent la biodiversité, notamment celle des espaces sensibles (Natura 2000) proches des zones d’introduction (ports, aéroports, lieu de vente, …). Ainsi, les objectifs d’ALIEM APOSTROPHE sont de conforter et améliorer les outils nécessaires à une coopération indispensable à une meilleure efficacité d’actions conjointes contre les EEE dans les cinq territoires régionaux de la zone du programme.

En effet, la menace globale liée aux EEE, qui s’étend également à l’économie et à la santé humaine, est plus que jamais d’actualité. Dans un tel cadre, il est primordial de continuer à concourir à la mise en œuvre d’outils collaboratifs permettant d’anticiper de ce phénomène dans la zone transfrontalière, depuis la détection d’une menace potentielle jusqu’à l’action pour l’éviter ou la contenir.

ALIEM APOSTROPHE s’inscrit donc dans la même dynamique que le projet ALIEM : favoriser l'identification de solutions communes à l'intérieur de l'espace de coopération et la mise en œuvre du Règlement UE n° 1143/2014 relatif à la prévention et la gestion de l’introduction et de la propagation des espèces exotiques envahissantes. Il repose sur la mobilisation du même partenariat associant partenaires institutionnels garants de la gouvernance et acteurs de la recherche scientifique, et dispose de moyens performants pour diffuser la connaissance acquise, via sa plateforme transfrontalière et également en mobilisant le Muséum du Var et celui de Livourne.

 
Les grands objectifs du projet sont les suivants :

  • Exploiter les connaissances et les données partagées au niveau transfrontalier pour agir plus efficacement
  • Consolider et développer le réseau interinstitutionnel et scientifique transfrontalier pour la prévention et la gestion intégrée des risques liés à la diffusion des espèces exotiques envahissantes menaçant la biodiversité, notamment en milieux insulaires
  • Maintenir le plan conjoint transfrontalier à jour et l’enrichir

Les composantes du projet

Afin de répondre efficacement aux grands objectifs fixés, le projet s’est organisé en plusieurs composantes, notamment techniques, elles-mêmes découpées en activités aboutissant à la production de livrables.

Schéma des diverses composantes du projet